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Le Parti libéral du Québec réclame une commission parlementaire sur l’insécurité alimentaire chez les étudiants

QUÉBEC, le 18 févr. 2025 – À la lumière des constats alarmants rapportés dans un sondage Léger, aujourd’hui, sur la précarité alimentaire des étudiants du collégial et universitaires, les porte-paroles de l’opposition officielle, Michelle Setlakwe (enseignement supérieur), Madwa-Nika Cadet (jeunesse) et Désirée McGraw (solidarité sociale et action communautaire) ont fait parvenir une demande de mandat d’initiative sur le sujet à la Commission de la culture et de l’éducation.

Les trois élues libérales estiment que les chiffres rendus publics sont très préoccupants et commandent une attention immédiate de la part du gouvernement. En effet, on constate que 40% des étudiants ont vécu de l’insécurité alimentaire au cours des 12 derniers mois. La proportion monte à presque un sur deux pour les étudiants bénéficiant du régime de l’Aide financière aux études (AFE). De plus, il est rapporté que près d’un étudiant sur cinq a eu recours à une forme d’aide alimentaire, soit sur campus ou encore dans les banques alimentaires.

Cette insécurité alimentaire entraîne des répercussions majeures sur la santé mentale et physique des étudiants qui en sont victimes, en plus de mettre en péril leur réussite académique. Pire encore, parmi ceux touchés par ce fléau, 13% reconnaissent avoir déjà passé une journée entière sans manger, souligne l’étude publiée ce matin.

Mmes Setlakwe, Cadet et McGraw demandent donc la tenue d’une commission parlementaire afin de mieux comprendre les causes de l’insécurité alimentaire croissante chez les étudiants québécois, de connaître les initiatives existantes sur le terrain et d’explorer des pistes de solutions pour y remédier. Parmi celles-ci, l’opposition libérale propose notamment d’envisager d’offrir de l’aide alimentaire directement sur les campus et de réviser le programme d’Aide financière aux études (AFE) afin de s’assurer qu’il réponde toujours à la réalité de 2025.

Citations

« La hausse fulgurante du coût de la vie frappe aussi durement les étudiants. L’accès difficile aux prestations de l’AFE et les stages non rémunérés, placent les étudiants dans une précarité grandissante. Les étudiantes et les étudiants n’ont pas le choix de s’endetter et d’aller dans les banques alimentaires. La réussite académique ne peut s’accomplir avec le ventre vide. »

– Michelle Setlakwe, députée de Mont-Royal-Outremont et porte-parole de l’opposition officielle en matière d’enseignement supérieur

« La situation est excessivement préoccupante. Depuis 2011, le recours aux banques alimentaires par les étudiants postsecondaires a augmenté de 540%. Cette insécurité alimentaire, pour un étudiant, favorise l’anxiété et nuit grandement à la réussite scolaire. Des pistes de solution existent, comme la rémunération des stages, mais malgré nos demandes incessantes, la CAQ refuse toujours de bouger dans le dossier malgré son engagement à le faire. Qu’est-ce qu’on attend? »

-Madwa-Nika Cadet, porte-parole de l’opposition officielle pour la jeunesse et députée de Bourassa-Sauvé

« De plus en plus de Québécois ont recours aux banques alimentaires pour joindre les deux bouts. Parmi les trois millions de demandes par mois, les étudiants sont surreprésentés. Il n’est pas normal qu’un étudiant sur cinq doive fréquenter les banques alimentaires pour se nourrir. Nous devons tout mettre en œuvre pour renverser le poids de la précarité sur les étudiants. Avec notre mandat d’initiative, nous souhaitons brosser un portrait complet de la situation et explorer toutes les pistes de solution pour la réussite de nos jeunes.  »

– Désirée McGraw, députée de Notre-Dame-de-Grâce et porte-parole de l’opposition officielle en matière d’économie sociale, de solidarité sociale et d’action communautaire

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